dimanche 1 janvier 2017

Les objets connectés n'intéressent personne !

Rafi Haladjian, pionnier de l'internet, grand geek devant l'éternel, cherche à percer les mystères du marché de l'objet connecté: il a inventé des objets merveilleux, qui n'ont pas marché. Alors il fait son mea culpa: vive la simplicité.

Claude Soula Publié le 10 décembre 2016 

Il y a un problème avec les objets connectés : ils n’intéressent personne ! L’enthousiasme d’il y a deux ans, avec la grande vague des entrepreneurs de la French Tech qui s'amusaient à mettre des processeurs dans tous les objets, de la brosse à dent aux chaussures en passant par les t-shirts ou les raquettes de tennis, est en train de retomber. Même les ténors Apple ou Samsung n’ont pas connu le succès espéré avec leurs montres connectées.
Et Rafi Haladjian, le Français qui avait inventé le premier objet grand public de cette vague, le lapin Nabaztag - c’était en 2005 - est de plus en plus perplexe face à ce marché qui n’arrive pas à décoller.  Il est même en train de faire son mea culpa.
"J’ai eu une révélation il y a deux ans, lors du grand salon professionnel de Las Vegas [le CES, consumer electronic show, NDLR]", dit-il.
Lors de cette grande messe annuelle, toute une faune de geeks venue du monde entier, et notamment de France, sous l’égide de la French Tech, avec Emmanuel Macron en porte-parole, découvre des créations ébouriffantes. Lui-même dévoilait alors aux distributeurs du monde entier sa dernière création, "Mother" : c’était - et c’est encore - un objet connecté très séduisant.


SERRE D'ABONDANCE ET AUTONOMIE ALIMENTAIRE !

Une formation en ligne unique pour apprendre à créer sa propre serre bioclimatique d'abondance accolée à son habitation. Pour en savoir plus :
 http://solutionera.com/serre-dabondance-fr





et voir la video explicative ici :
https://www.facebook.com/thierry.regenere/videos/669530019892724/

L’école de demain : une idée folle !


Etude l Etude prospective sur la mise en oeuvre de l'économie de fonctionnalité

Etude l Etude prospective sur la mise en oeuvre de l'économie de fonctionnalité

 Download the report here : http://www.institut-economie-circulaire.fr/attachment/656998/

This is the crazy way Microsoft thinks we’ll watch sports in the future.

Watch the video here :

https://www.facebook.com/verge/videos/1031610786875264/

L'Inra en est désormais convaincu : oui, la permaculture est rentable !

Au terme d'une longue étude, l'Institut national de recherche agronomique valide la rentabilité de la permaculture. Un grand pas en avant !

Par Axel Leclercq -31 août 2016

 Source : Shutterstock
Longtemps perçue comme une idée fantaisiste, la permaculture séduit enfin les plus grands spécialistes de l’agriculture. Même le très sérieux Institut national de la recherche agronomique (l’Inra) est désormais conquis ! La preuve avec cette étude passionnante aux résultats spectaculaires.
La permaculture c’est produire du bio, dans le respect des écosystèmes et en s’appuyant sur la nature plutôt que sur la chimie et la mécanique. Sur le papier, c’est bien joli, mais en vrai, est-ce que ça marche et, surtout, est-ce que ça paye ? Oui, répond désormais l’Inra, en s’appuyant sur quatre longue années d’observation de la ferme du Bec-Hellouin, en Normandie.



Pendant quatre ans, entre 2011 et 2015, les scientifiques ont étudié une petite parcelle de 1 000m2 seulement : 421m2 de serres, 233m2 d’agroforesterie (verger maraîcher) et un jardin mandala en spirales de 378m2.
Vous voyez, rien de gigantesque. On est même très loin des géantes exploitations modernes. Pourtant, au terme de ses recherches, l’Inra a conclu que cette petite surface permettait de dégager un revenu mensuel net entre 900 et 1570€ !

Weaving a home : des yourtes ultra-légères, autosuffisantes et modernes

Une solution imaginée par l'architecte Abeer Seikaly pour faire face aux challenges des migrations climatiques et d'un éventuel retour du nomadisme.