C’est le monde à l’envers. Après les magasins qui se convertissent aux
ventes sur Internet, voici les sites Internet qui lancent… leurs
magasins ! Qu’on les appelle « boutiques connectées » ou « boutiques
sans stock », elles représentent la grande tendance du moment à New
York. La start-up Bonobos vient d’ouvrir un magasin sur la 5e Avenue de New York, qui permet aux hommes d’essayer pantalons et chemises… pour les acheter sur son site Internet ensuite.
Les avantages sont multiples : « Les clients qui se rendent dans nos magasins achètent 50 % de plus, en moyenne, que ceux consultant simplement notre site Internet », explique le PDG, Andy Dunn. La marque n’ayant plus de stocks en boutique, elle peut aussi réduire son personnel, son espace… et les vols. La marchandise est livrée directement, de l’entrepôt de Boston jusqu’à chez le client. Le concept est particulièrement adapté aux hommes, qui n’aiment guère s’encombrer de paquets lorsqu’ils font du shopping. Bonobos a ouvert une vingtaine de magasins aux Etats-Unis.
Présent sur Internet depuis 1999, le joaillier Blue Nile (500 millions de dollars de chiffre d’affaires annuel) suit le même concept. Il vient d’ouvrir une première « webroom » à Long Island, où les clients peuvent essayer bagues et diamants avant de les acheter sur Internet. « Il y a une part de la population qui ne sera jamais prête à acheter une bague de fiançailles à 7.000 dollars sur Internet », explique le PDG, Harvey Kanter. C’est également le cas du vendeur de lunettes Warby Parker et de Birchbox, qui se contentait de vendre des produits de beauté sur Internet jusqu’alors. De nouvelles start-up devraient encore suivre cette année : c’est notamment le cas d’Adore Me, qui vend de la lingerie sur Internet et espère créer de premiers magasins d’essayage dans les mois qui viennent.
Les avantages sont multiples : « Les clients qui se rendent dans nos magasins achètent 50 % de plus, en moyenne, que ceux consultant simplement notre site Internet », explique le PDG, Andy Dunn. La marque n’ayant plus de stocks en boutique, elle peut aussi réduire son personnel, son espace… et les vols. La marchandise est livrée directement, de l’entrepôt de Boston jusqu’à chez le client. Le concept est particulièrement adapté aux hommes, qui n’aiment guère s’encombrer de paquets lorsqu’ils font du shopping. Bonobos a ouvert une vingtaine de magasins aux Etats-Unis.
Présent sur Internet depuis 1999, le joaillier Blue Nile (500 millions de dollars de chiffre d’affaires annuel) suit le même concept. Il vient d’ouvrir une première « webroom » à Long Island, où les clients peuvent essayer bagues et diamants avant de les acheter sur Internet. « Il y a une part de la population qui ne sera jamais prête à acheter une bague de fiançailles à 7.000 dollars sur Internet », explique le PDG, Harvey Kanter. C’est également le cas du vendeur de lunettes Warby Parker et de Birchbox, qui se contentait de vendre des produits de beauté sur Internet jusqu’alors. De nouvelles start-up devraient encore suivre cette année : c’est notamment le cas d’Adore Me, qui vend de la lingerie sur Internet et espère créer de premiers magasins d’essayage dans les mois qui viennent.
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